AVC : ce que l’on ne vous dit jamais

​Chère lectrice, cher lecteur,

Il est tombé au début du mois de mars : le rapport national sur les accidents cardiovasculaires de l’année… 2022.

Année ô combien cruciale, comme vous devez vous en souvenir, puisqu’elle faisait suite à une intense campagne d’injection expérimentale…

Cependant, la question des AVC interroge notre mode de vie toute entier. En effet, cela fait bien longtemps que les maladies cardio-vasculaires sont la cause de mortalité la plus élevée de nos sociétés…

Or il y a une chose que l’on ne vous dit JAMAIS.

C’est qu’il est possible, dès maintenant, de prévenir toutes les formes de maladie chroniques y compris les maladies cardiovasculaires.

Et pourquoi, d’après vous, on ne vous le divulgue pas ?

Les cardiologues détestent ça

L’un de mes amis, Marc, qui n’a que la quarantaine, est retourné à la salle (de sport, s’entend) pour aller se remettre en forme. Il faut dire que sa femme trouvait qu’il prenait du ventre.

« Je t’y verrai, toi, à travailler 60 heures par semaine ! », lui répondit-il un peu froissé. 

Il n’allait donc pas se remettre en forme dans les meilleures dispositions. Il se dit : « Tiens, et si j’allais courir un peu ? »

Donc il commence, et le premier kilomètre lui paraît déjà bien difficile. Il a mal aux articulations (spécialement aux rotules, qui grincent…), les mollets lui font mal…

Surtout, il a l’impression que ce n’est pas de l’air qui sort de ses poumons mais un gaz acide qui le brûle jusqu’aux narines !

Après le premier kilomètre, il commence à se sentir un peu mieux, un peu plus léger, mais il n’est pas au bout de ses surprises…

Malgré une hydratation continue, de l’eau coule de chaque de pore de sa peau, comme s’il subissait tout seul une pluie tropicale !

Il sent sa cage thoracique bien lourde et son cœur à l’intérieur tout petit, et bien en mal d’activer toute la volumineuse machinerie de son corps.

Heureusement, il s’arrête avant de se sentir mal. Il a déjà vu son oncle faire un AVC, et il connaît les symptômes : la bouche qui se tord subitement, un engourdissement de tout un côté du corps, l’impossibilité de parler…

Il les visualise immédiatement et il s’arrête…

Mais il s’inquiète, parce qu’il se dit qu’il a quand même bien forcé. Presque 3 ans sans faire d’exercice, et là, d’un coup, un entraînement un peu athlétique…

Il se tait et ne dit rien à sa femme, mais ça ne va pas suffire.

Jeune homme run peau mate en tee-shirt beige qui se tient le cœur avec la main et souffre

Le pire rendez-vous médical de sa vie

Pendant deux jours, Marc reste au lit : il est très fatigué, et il n’arrive pas à travailler. Heureusement pour lui, il n’a pas mal à un endroit ou un autre, mais il s’interroge. Il n’ose même pas m’en parler, de prime abord.

Et puis… comme sa femme commence à lui poser des questions, il est bien obligé de passer aux aveux.

Elle lui prend sur le champ un rendez-vous avec le cardiologue : « On ne plaisante pas avec ça », dit-elle. Quand il lui dit que ce n’est pas grave, elle lui lance un :

« Tu veux finir comme un légume, comme ton oncle ? »

Phrase terrible qui laisse Marc sonné. Bon, il ira chez le cardiologue, qui est bien décidé à lui prendre un prix exorbitant pourvu qu’il obtienne un rendez-vous vite.

Une fois chez le cardiologue, celui-ci est comme il s’y attendait : rigide, froid, cassant, à la limite de l’impolitesse. Sympathique comme un grand inquisiteur qui se donne le droit de vous dire comment vous devez mener votre vie.

L’électrocardiogramme de Marc est correct. Mais comme ce dernier travaille dans les compléments alimentaires, il ne peut pas s’empêcher de poser la question : « Dites-moi, docteur, que pensez-vous de la nattokinase ? »

Le praticien l’a pour ainsi dire mis dehors… Et pour une seule et bonne raison : la nattokinase est une menace pour les cardiologues et la supériorité morale dont ils se targuent...


Le "Destop" des artères

C’est ainsi que les Américains appellent la nattokinase. Du moins, ceux qui sont informés, car il se trouve que l’on CACHE à la population l’existence de ce remède.

D’ailleurs, il ne viendrait pas du Japon, pays qui est hors du cercle d’influence traditionnel des laboratoires pharmaceutiques occidentaux, que jamais vous n’en auriez entendu parler…

Car la cardiologie est devenue une discipline terrible, puisque les maladies cardiovasculaires sont la plus grande cause de mortalité en Occident.

Le cardiologue de Marc n’est pas le seul à penser qu’il lui revient de diriger la vie de ses patients et de les astreindre à la même existence austère que lui-même.

Les cardiologues sont devenus de véritables prêtres et se conduisent bien souvent en tant que tels, levant un œil scrutateur chaque fois que vous leur parlez d’un petit verre de vin…

Et d’ailleurs, ils ne sont pas les derniers à se terroriser eux-mêmes et à mener une existence terne, voire insipide.

Pourtant, la nattokinase n’a rien d’un remède si étrange. Au mieux est-il un peu exotique.

C’est une molécule qui se crée lors de la fermentation d’un haricot, base d’un plat japonais aussi odorant que le camembert ou l’époisse, et qui s’appelle le nattō.

Or la nattokinase commence à nettoyer vos artères dès la première prise, comme en témoigne une étude qui gagnerait à être célèbre… (1) et qui date déjà d’il y a 10 ans.

Au Japon, qui est le pays où l’on vit le plus longtemps, et où les problèmes cardiovasculaires sont bien plus rares que chez nous, c’est un remède tout à fait classique.

Tout le monde le connaît, là-bas !

Mais que voulez-vous ? La cardiologie occidentale, c’est avant tout un business, et un business très juteux. Il n’a guère envie de se réformer.

Vous imaginez ? Une petite molécule qui rend tous les appareils compliqués obsolètes ? Qui remette en question 5 années d’études spécialisées ?

Avant tout, misez sur la prévention

Rappelons-le, un AVC, c’est un vaisseau qui éclate dans le cerveau, et qui peut donner lieu à une hémorrhagie potentiellement fatale, et qui, si elle ne l’est pas, est fortement handicapante.

Les vaisseaux cérébraux, pour leur petitesse, sont particulièrement sujets à ce type d’occlusion – les thromboses – mais elles peuvent se produire dans bien des endroits du corps, notamment à côté du cœur : les fameux infarctus.

Or la carte de France des AVC, que vous pouvez retrouver dans le rapport de Santé public France (2), est très instructive.

Bien sûr, il y a tout ce qui favorise les problèmes cardiovasculaires : consommation excessive d’alcool et nourriture grasse (dans la moitié nord de la France et dans le sud-ouest en particulier).

Mais il y a aussi la question de la pauvreté et du manque d’information sur ces questions-là, qui joue en particulier dans les territoires et départements d’Outre-mer – les plus touchés de France.

C’est plus d’1 habitant sur 300 en moyenne qui est touché dans ces régions, ce qui est considérable.

Et même, en général, le quart le moins aisé de la population française subit 40% de risque d’AVC en plus que le quart le plus aisé.

La qualité de la nourriture (et des huiles de cuisson) est ici à interroger, naturellement.

Il n’en reste qu’une petite cure annuelle de nattokinase, passée les 55 ans, ne peut que vous faire beaucoup plus de bien que de mal.

Je recommande systématiquement à mes patients une nattokinase en particulier : elle a fait ses preuves même sur des cas que les cardiologues jugeaient « irrécupérables »…

Si vous voulez vous la procurer, il vous suffit de cliquer => ICI.

Prenez soin de votre cœur, vous n’en avez qu’un seul !

Dr. Thierry Schmitz

1 Kurosawa Y, Nirengi S, Homma T, Esaki K, Ohta M, Clark JF, Hamaoka T. A single-dose of oral nattokinase potentiates thrombolysis and anti-coagulation profiles. Sci Rep. 2015 Jun 25

2 https://beh.santepubliquefrance.fr/beh/2025/HS/pdf/2025_HS_3.pdf

AVC : ce que l’on ne vous dit jamais
Dr. Schmitz 8 mei, 2025
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