DHA Liposomé

Le DHA est l’un des acides gras de la famille des Omégas-3. On le trouve surtout dans les poissons gras tels que saumon, thon, hareng, sardine, maquereau…


Indications générales du DHA Liposomé

  • Entretien des fonctions cognitives et cérébrales

  • Protège l’intégrité du cerveau et du cellules nerveuses

  • Prévention des dégénérescences diverses et liées à l’âge

  • Protège la vision, la rétine et ses usures éventuelles

  • Contribue à la protection cardio-vasculaire

  • Utile lors de la grossesse pour le développement du système nerveux du fœtus et du jeune enfant

  • Participe de la prévention des accouchements prématurés


Petit rappel au sujet de la classification des acides gras

Tableau de classification des acides gras DHA liposomé

Il existe deux grandes familles d’acides gras.

Les acides gras saturés considérés comme nocifs. Ils sont principalement d’origine animale (viandes et produits dérivés, produits laitiers). D’autre part les acides gras insaturés divisés en 2 grandes catégories :

  • les acides gras mono-insaturés

  • les acides gras polyinsaturés.

Le chef de file acides gras mono-insaturés est l’acide oléique ou oméga-9 (Ω9) que l’on trouve entre autres dans l’huile d’olive. Quant aux acides gras polyinsaturés, ils incluent les acides gras oméga-6 (Ω6) et les oméga-3 (Ω3). Les oméga-6 répondent au nom d’acide linoléique et sont contenus dans la plupart des huiles végétales. Il existe 3 acides gras dans la famille des oméga-3 : l’acide α–linolénique présent en faibles proportions dans certaines huiles végétales (cameline, lin, chanvre…), l’acide éicosapentanoïque (EPA) et l’acide docosahexanoïque (DHA).

Dans le corps, l’acide α–linolénique (l’un des Ω3) ne sera transformé en EPA puis en DHA que si les apports en oméga-6 (acide linoléique) ne sont pas trop importants car ce sont les mêmes enzymes qui sont responsables de la conversion des oméga-6 en acide gamma-linolénique et des oméga-3 en DHA.

L’équilibre optimal des apports en acides gras devrait être de 4 Ω6 pour 1 Ω3, or dans notre alimentation moderne, c’est l’inverse. Les sources d’Ω6 sont nombreuses et les apports d’Ω3 sont souvent très faibles. Les proportions avoisinent fréquemment de 15 à 20 Ω6 pour 1 Ω3. Du fait des excès des Ω6, la concurrence enzymatique est rude et le peu d’Ω3 est très difficilement convertis en DHA utilisable par notre organisme alors qu’il est le plus essentiel des Ω3. Les experts nutritionnistes recommandent un apport alimentaire journalier d’au moins 200 mg d’Ω3, ce qui est loin d’être le cas.

L’une des manières d’éviter ce piège est de consommer directement des acides gras de type docosahexanoïque (DHA), c’est-à-dire des poissons gras.


Le DHA, essentiel au fonctionnement du cerveau

Les omégas-3 EPA et DHA constituent 21 à 36 % du pourcentage total d’acides gras des membranes cellulaires de l’ensemble du corps, mais leurs proportions varient énormément suivant le type de tissus. Chez les mammifères, les tissus qui contiennent le plus de DHA sont la rétine (19,5 %), les testicules (8,7 %) et le cerveau (7,2 %). Le principal acide gras du cerveau est le DHA, il en représente 10 à 20 % de la totalité des acides gras. L’EPA quant à lui ne représente que moins de 1 % des acides gras totaux.

  • Le DHA participe à la fois à la structure et au fonctionnement des membranes cellulaires du cerveau mais aussi des neurones.

  • Il s’intègre au système nerveux dès le troisième trimestre de la vie fœtale et ensuite durant les premières années de vie. Pour construire le cerveau et le système oculaire du très jeune enfant les apports s’effectuent par l’intermédiaire du lait maternel car le fœtus est incapable de le synthétiser par lui-même.

  • À l’âge adulte, le cerveau est constitué de 60 % d’acides gras dont 14 % sont des oméga-3, parmi eux 97 % sont du DHA.

  • Le DHA est fondamental à la souplesse des membranes des neurones et à leur bon fonctionnement afin que les impulsions nerveuses circulent facilement au travers des circuits cérébraux.

  • Le DHA assure également de bons apports de glucose, principal carburant de cet organe.

  • Plusieurs études démontrent qu’une consommation régulière de DHA permet de ralentir le vieillissement cérébral et de diminuer les risques d’apparition d’usure et de dégénérescences diverse

 


Le DHA, indispensable à la rétine

La rétine est un tissu riche en DHA, elle en contient environ 20 %.

Cet acide gras permet de traduire les signaux lumineux en messages nerveux. Il favorise également la sensibilité et l’adaptabilité de l’œil à la lumière.

Présent dans les photorécepteurs, il est le seul acide gras capable d’assurer leur survie et de freiner leur disparition.

Il s’avère donc utile pour prévenir et pour diminuer les risques d’usure rétinienne.


DHA et circulation

À ce point de vue, les propriétés des acides gras de type oméga-3 sont bien documentées.

On sait qu’ils :

  • Participent à la diminution de la pression,

  • Contribuent à réguler le rythme cardiaque,

  • Aident à la fluidité,

  • Protègent l’élasticité et la souplesse des parois,

  • Concourent à réduire les taux de certaines graisses dans le sang, notamment ceux des triglycérides (risques importants de problèmes).


Grossesse – développement du fœtus et du jeune enfant

Le DHA est nécessaire au développement du cerveau du fœtus, à son intelligence et à son acuité visuelle.

Durant la grossesse, à partir des réserves et des apports alimentaires maternels, le fœtus reçoit quotidiennement jusqu’à 2,2 g d’acides gras essentiels (oméga-3 et oméga-6). Cela uniquement si les apports alimentaires de la mère sont suffisants.

Une supplémentation de la mère en DHA contribue à un meilleur quotient intellectuel de l’enfant à naître. On rapporte aussi d’autres bienfaits comme une réduction des allergies.

Les 3 derniers mois de grossesse constituent une période critique qui nécessite une attention particulière car les besoins du fœtus en DHA sont importants et constants. Ils sont estimés à 50 à 60 mg par jour. À ce moment, le fœtus est incapable d’en synthétiser suffisamment pour couvrir ses propres besoins. La source principale de DHA émane de la mère et s’effectue par passage à travers le

Plusieurs études démontrent les bénéfices d’apports de DHA en quantités élevées chez les femmes enceintes dans la lutte contre l’accouchement prématuré. Chaque année en France, naissent encore 65 000 bébés prématurés.


DHA Liposomé

Les liposomes sont de microvésicules formées d’une double couche de phospholipides. Au cœur de ces sphères lipidiques est encapsulé le produit actif, dans ce cas, le DHA.

Le système nerveux central est protégé par la barrière hémato-encéphalique chargée de laisser passer les nutriments et les minéraux utiles aux fonctions cérébrales. La technologie liposomale assure une pénétration optimale des principes actifs au cœur du cerveau.

Conseils d’utilisation du DHA Liposomé

  • La dose normale conseillée est de 6 ml par jour, dilués dans un liquide (eau-jus de fruit).

  • 6 ml de DHA Liposomé équivalent à 400 mg de DHA.

Ingrédients

Par millilitre : Arthrospira Platensis (Algue de vie) 600 mg (huile riche en phospholipides et titrée à 11,11 % de D.H.A. (acide docosahexaénoïque) – Eau purifiée – D-Ribose (origine végétale) – Polysaccharides (origine naturelle) – Arôme fruits rouges (origine naturelle) – Sorbate de potassium (conservateur) – Poids pour 1 ml : 933,33 mg.

Conditionnement

Flacon de 180 ml

Précautions d’emploi et conservation

  • Secouer doucement le flacon avant utilisation.

  • Une fois ouvert, conservez le flacon au frigo et l’utiliser dans les 45 jours.


DHA Liposomé

DHA Liposomé
Dr. Schmitz 25 juin, 2021
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