Le calvaire de la gente féminine

Uriner, quel reflexe simple et qui paraît si banal pour la grande majorité des femmes. Sauf pour quelques-unes pour qui cela s’apparente à une véritable torture. Imaginez un seul instant devoir uriner des lames de rasoir ! Un supplice ! Et pourtant, cette affection bactérienne touche beaucoup plus les femmes que les hommes en raison de la longueur de l’urètre et de la proximité de l’anus. Reins, vessie, uretères, urètre, l’E.coli à l’origine de 90% des troubles de la miction, se loge partout. Parfois accompagnée de fièvre, cette bactérie remonte le canal urinaire pour vous pourrir vos journées et vos nuits. On estime à près de 3% le nombre de femmes qui souffriraient de cystites chaque année. 

Et pourtant, la nature a tout prévu pour limiter ces désagréments : l’acidité de l’urine qui empêche le développement des bactéries, un urètre très lisse pour éviter la remontée des germes, un système immunitaire qui lutte contre les infections,… Mais malgré un dispositif au poil, les microbes peuvent se propager et contaminer l’urine.  

Le martyre des toilettes

Quand une cystite se manifeste, la sensation de brûlure est quasi insupportable tellement la douleur est forte. Et pour couronner le tout, l’envie d’uriner est anormalement fréquente, pour parfois se soulager de 3 misérables gouttes sorties avec sueur et fracas. 

Les urines sont parfois malodorantes et troubles et peuvent être accompagnées de sang. 

Les choses peuvent se compliquer lorsque la fièvre commence à monter. Frissons, vomissements, douleurs intenses dans l’abdomen et dans le bas du dos viennent encore plomber l’état général. 

Les personnes les plus à risque sont les femmes actives sexuellement mais également les personnes âgées, les personnes diabétiques, les personnes souffrant de calculs rénaux ou encore les hommes souffrant de troubles de la prostate. La cystite dite « de la lune de miel » apparait quand les rapports sexuels sont très fréquents. 

Eviter la cystite récidiviste 

Après une première expérience traumatisante, quelques mesures d’hygiène de vie s’imposent. 

1. Buvez, éliminez ! Buvez de l’eau évidemment, régulièrement. N’attendez pas d’avoir soif pour vous hydrater. Ceci vous permettra d’uriner régulièrement et de vous débarrasser par la même occasion des indésirables bactéries. 

2. Evitez de vous retenir trop longtemps ! Vous empêcherez les bactéries de proliférer dans votre vessie. 

3. N’oubliez pas d’aller uriner après chaque rapport sexuel. C’est essentiel.

4. Votre toilette intime doit être irréprochable pour éviter une contamination avec les bactéries intestinales.  

Les traitements qui vous enfoncent

Le jus de canneberge est bien connu pour vous aider à limiter les récidives mais en cas de crise, il est loin d’être suffisant. Votre médecin vous prescrira alors des antibiotiques salvateurs que vous prendrez sans sourciller pour enfin diminuer la douleur. Le soulagement tant espéré interviendra dans les 24 à 48h. Cependant, la prise de ce genre de médicament, régulièrement et à long terme vous affaiblira et provoquera encore plus de crises dans le futur puisque votre système immunitaire sera affaibli après chaque cure d’antibiotiques. N’oubliez pas qu’il faut 6 mois pour rétablir une flore correcte, à partir du moment où vous mettez tout en œuvre pour reconstruire votre microbiome. Pensez à le nourrir pour qu’il puisse se régénérer rapidement et continuer à vous protéger. Les fibres prébiotiques seront alors d’un secours indispensable pour rétablir l’équilibre. 

Infection urinaire ? Prenez du D-Mannoplex

Le mannose est un sucre simple du glucose qui recouvre les cellules de la paroi urinaire. On peut le retrouver facilement dans les pêches, pommes, oranges ou encore dans les myrtilles.

Pour rappel, l’infection urinaire est causée par la bactérie Escherichia Coli lorsque celle-ci parvient à adhérer aux cellules de la vessie et au conduit urinaire à l’aide de petits poils appelés « franges ». Ces franges sont constituées d’une glyco-protéine (la lectine) qui est programmée pour s’accrocher aux molécules de mannose présentes en petites quantité sur les parois du canal urinaire.

C’est pourquoi le D-Mannoplex est composé de ces molécules de mannose appréciées de l’E. Coli. Bien que des molécules de mannose soient déjà naturellement présentes dans le conduit urinaire, l’apport en D-Mannoplex fait que celles-ci soient également présentes dans l’urine. Il en résulte que la plupart des bactéries s’attachent alors au D-mannoplex flottant dans l’urine et sont ains ainsi éliminées avec l’urine.

 

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Le calvaire de la gente féminine
drschmitz 30 juin, 2021
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