Chère lectrice, cher lecteur,
C’était il y a trois jours, je n’en pouvais plus. J’ai tout éteint : télévision, ordinateurs, téléphone. Et là, un silence bienveillant s’est installé.
Mais ça n’a pas duré ! Je n’avais plus l’habitude du silence.
Mais plutôt que d’allumer la radio pour entendre du bruit, je me suis tourné vers ma bibliothèque.
Ces dernières années, moins je pouvais lire de livres, plus j’en ai acheté. J’en ai donc ouvert un, puis deux : et j’avais toujours le même problème. J’étais lent et je m’ennuyais. En vrai, je n’avais plus du tout l’habitude de lire et j’avais l’impression d’être revenu à l’école.
En plus, la plupart des livres que l’on publie maintenant sont verbeux. Ils servent à faire croire au public qu’il est intelligent parce qu’il lit 200 pages, là où le contenu tient en 10 ou 12 pages.
Michel Onfray, auteur qu’il m’arrive d’apprécier – malgré ses positions assez puériles pendant la pandémie – est le spécialiste de cette étrange formule. Mais moi, parce que j’en ai assez de toute cette agitation panique, j’avais besoin de retrouver une activité intellectuelle. Et pour cela j’avais besoin de nourrir mon cerveau pour qu’il revienne à son plein régime.
Heureusement que je connais un moyen pour y arriver, et même un très bon. Un moyen qui peut vous servir quel que soit votre âge et votre condition physique, qui vous protège même « d’Alzheimer » et du surpoids !
Et qui est en plus totalement naturel…
De la matière grise pour régénérer votre cerveau
Votre cerveau a un besoin très particulier pour fonctionner au meilleur de ses capacités : celui de graisses rares et précieuses, pour fabriquer les parois complexes des neurones, ses cellules ultra-performantes.
Or c’est un fait : notre corps est incapable de fabriquer ces graisses tout seul. C’est pourquoi, sans les bonnes matières premières, notre cerveau marche au ralenti. Le DHA est LA graisse qui permet à votre cerveau de fonctionner à plein régime. Elle est si spécifique au cerveau qu’elle a été appelée par les scientifiques, l’acide cervonique.
Il se trouve qu’aujourd’hui, non seulement nous savons concentrer du DHA d’excellente qualité, mais nous savons le conditionner à la façon de la paroi des cellules du corps – pour qu’il soit absorbé à 99% par votre organisme. Nous appelons cela le DHA liposomé. Son effet est radical et direct sur votre cerveau et votre concentration, dès les premières semaines de cure.
Les bienfaits du DHA liposomé
- Pour entretenir les fonctions de votre cerveau (mémoire, perception, réflexion)
- Pour protéger les cellules de votre cerveau et de vos nerfs
- Pour prévenir les dégénérescences comme « Alzheimer » et « Parkinson »
- Pour contribuer à la protection de votre système cardio-vasculaire.
- Indispensable à la grossesse pour le développement du système nerveux du fœtus et du jeune enfant.
- Réduit les risques d’accouchements prématurés
- Pour protéger votre vision, notamment la rétine et ses usures éventuelles. Car la DHA est une des briques dont la rétine est faite
Le DHA rééquilibre nos graisses
Le DHA est un oméga3, une forme d’acide gras plutôt rare dans la nature, et qui non seulement est d’une aide précieuse pour notre cerveau, mais qui est également indispensable à notre équilibre de santé.
Ainsi, notre poids (ou notre surpoids) dépend directement de notre équilibre entre oméga3 et oméga6, qui sont deux formes de graisses dont nous avons impérativement besoin : les acides gras dits « polyinsaturés ».
Le plus courant des oméga3 est l’acide alpha linoléique, que l’on trouve dans des proportions un peu plus élevées dans certaines huiles comme celles de lin ou de chanvre. A partir de là, il fabrique la précieuse DHA ou sa « petite sœur » assez utile elle aussi, l’EPA. Toutefois, votre corps apprécie d’autant plus avoir accès à de la DHA pure et parfaitement biodisponible – donc absorbable par votre corps.
Or il faut beaucoup d’oméga3 dans notre corps aujourd’hui, pour maintenir l’équilibre avec les oméga6. Sans cela, nous risquons le surpoids, voire l’obésité. L’équilibre optimal des apports en acides gras devrait être de 4 oméga6 pour 1 oméga3. Or dans notre alimentation moderne, les sources d’oméga6 sont nombreuses et les apports en oméga3 sont généralement très faibles.
C’est ainsi que l’on se retrouve avec 15 à 20 oméga6 pour un oméga3. Cela crée un déséquilibre dans le corps : les graisses ne sont pas brûlées comme il faudrait et elles s’accumulent. De l’autre côté, ce déséquilibre fait que le peu d’oméga3 que reçoit le corps – presque uniquement de l’acide alpha linoléique, n’est pas transformé en EPA et en DHA : votre cerveau en est ralenti et vos yeux s’usent plus rapidement.
Votre cerveau, c’est vous
Les omégas-3 EPA et DHA sont indispensables pour fabriquer les parois de vos cellules, et en particulier celles des neurones, les cellules de notre cerveau, celles qui permettent de penser, de se souvenir, et d’utiliser nos 5 sens.
En somme, ces oméga3 nous permettent d’être nous-mêmes et pas seulement un corps parmi d’autres. La proportion d’EPA et de DHA varie entre 1/5e et 1 TIERS de la composition des parois cellulaires de notre corps (entre 21% et 36%).
Le DHA est beaucoup plus important que l’EPA, surtout pour la rétine, où il représente jusqu’à 1/5e du POIDS TOTAL de l’organe. D’où l’importance de la DHA pour garder vos yeux en bon état… Il en va de même pour les testicules, dont il représente 8,7% du poids total et du cerveau (7,2%), ce qui représente 10 à 20 fois plus que l’EPA.
Le DHA permet la souplesse des membranes des neurones, est indispensable à leur bon fonctionnement et fait que les impulsions nerveuses circulent facilement au travers des circuits cérébraux. Il assure également que le sucre (le glucose), le principal carburant du cerveau, soit bien consommé.
Un traitement de fond contre « Alzheimer » et « Parkinson »
Il est ainsi prouvé depuis 15 ans déjà que le DHA permet de ralentir le vieillissement du cerveau et diminue son usure [1] .
Son action pour la prévention et même pour faire reculer la maladie d’Alzheimer a été corroborée par de nombreuses études. En 2020, une étude sur l’apport en DHA pour traiter la maladie de Parkinson chez les souris a été concluante et de semblables études sur les humains ne sauraient tarder[2] .
Voilà pourquoi je prends moi-même de la DHA sous sa forme la plus naturellement absorbée par l’organisme – l’encapsulement liposomal, qui reproduit la structure membranaire des cellules humaines.
La référence reste pour moi la DHA liposomée que vous pouvez trouver en cliquant ICI
Dans tous les cas, prenez soin de votre cerveau, vous et moi, nous n’en avons qu’un !
Dr. Thierry Schmitz
Sources :
[1]
Walter J. Lukiw and Nicolas G. Bazan, Docosahexaenoic Acid and the Aging Brain, Revue de nutrition, décembre 2008.
[2]
Neha Milind Chitre et al. Docosahexaenoic acid protects motor function and increases dopamine synthesis in a rat model of Parkinson's disease via mechanisms associated with increased protein kinase activity in the striatum, Neuropharmacologie, mai 2020.