Chère lectrice, cher lecteur,
Cette question risque de vous choquer.
Vivons-nous l’âge d’or de la médecine ?
Je sais, les motifs de nous plaindre sont innombrables, et pour beaucoup, ils sont justifiés.
Mais reconnaissons-le : depuis un demi-siècle, la médecine alternative fait des progrès fulgurants.
Entre autres, avec le traitement du microbiote intestinal, nous sommes proches d’une révolution médicale qui force aujourd’hui les portes des hôpitaux.
Et encore, le grand-public est loin de savoir tout ce dont l’ozone est capable…
De la même façon, bien des maux nous sont désormais épargnés, ou du moins réduits à la portion congrue.
Et parmi eux, un problème tout bête, mais qui peut s’avérer particulièrement irritant, voire harassant : les jambes lourdes.
Aujourd’hui, ce problème n’en est plus vraiment un… si vous savez comment vous en débarrasser !
Un phénomène naturel (et facile à prévenir)
Les problèmes des jambes lourdes, c’est a priori très simple. Le sang charrie de l’oxygène dans tout votre organisme, afin que ce comburant puisse libérer de l’énergie dans vos cellules qui forment vos organes.
Le problème qui intervient ici est celui de la gravité. Le sang descend facilement dans les jambes, mais il remonte beaucoup moins facilement vers les poumons pour être rechargé en oxygène !
A cette fin, il existe deux mécanismes : le cœur, qui pompe et qui permet la circulation à travers les veines et les artères. Les artères conduisent le sang vers les organes, les veines le renvoient vers le cœur.
L’autre mécanisme est celui des petites valves des veines, appelées valvules, qui évitent que le sang, lorsqu’il n’est pas assez pompé, trop épais ou les deux, ne redescende vers vos pieds à vause de la gravité.
Or il y a 5 raisons pour lesquelles ces mécanismes de votre corps s’enrayent :
Les 5 raisons des jambes lourdes
1. L’insuffisance veineuse : les valves veineuses ne fonctionnent pas assez bien, ce qui accumule exagérément le sang dans les jambes.
2. Une circulation sanguine empêchée. Soit à cause d’une position assise ou debout trop longue. Mais aussi le manque d’activité physique, le tabagisme, ou une alimentation déséquilibrée – autant de facteurs qui tendent à épaissir le sang. Or plus il se charge en toxiques, plus il est épais, et moins il circule, donc moins il est nettoyé par les reins.
3. La rétention d’eau. Vos jambes peuvent gonfler, parfois exagérément – c’est l’œdème – à cause de problème rénaux, de troubles hormonaux, d’une alimentation trop riche, d’une chaleur excessive ou à cause des médicaments. Cette déformation des membres inférieurs exerce une pression sur le système circulatoire qui l’empêche de fonctionner correctement.
4. La fatigue musculaire : après une activité physique intense, une position debout prolongée ou une sollicitation excessive des jambes, celles-ci peuvent naturellement faire mal.
5. L’accumulation des troubles. N’oublions pas les troubles psychologiques comme l’anxiété, dont la tension se propage dans les muscles. Mais aussi les thromboses veineuses profondes, les infections et là encore, certains médicaments. Le marqueur de l’accumulation de ces troubles, ce sont les varices.
Ne laissez pas vos veines bleuir !
A ce titre, la sensation de jambes lourdes est en corrélation étroite avec l’apparition de varices, qui sont à la fois le marqueur physique, la résultante et la cause du problème.
Les varices se localisent pour l’essentiel sur les jambes, et c’est un problème généralement féminin, même s’il n’est pas rare qu’elles apparaissent chez les hommes en fort surpoids.
Ce que l’on appelle les varices, c’est quand la congestion sanguine devient si importante que les veines bleuissent, jusqu’à en éclater. Cela prend la forme d’un petit réseau violet qui parcourt en particulier les mollets et les chevilles.
Il y 2 causes aux varices.
La première est le manque de tonicité des veines, qui s’élargissent, et qui parfois éclatent par défaut d’élasticité – on ne dira jamais assez combien la vitamine C contribue à la bonne santé des parois veineuses.
D’autre part, les valvules veineuses, ces petits clapets qui empêchent le sang de redescendre dans les veines peuvent eux aussi connaître des lésions.
Ainsi, en stagnant, le sang exerce une pression à même d’engorger et de faire éclater les veines…
Dans tous les cas, les varices sont le signe évident que vous devez vous remettre à la marche !
10 moyens éprouvés pour mettre fin à ce désagrément
1. Allégez votre alimentation. Privilégiez les fibres, les antioxydants, les fruits, les légumes et les sources de protéine maigres. Evitez autant que possible le sel, car il favorise la rétention d’eau.
2. Faites de l’exercice afin, sinon de conserver votre poids de santé, de favoriser des jambes musclées, mieux à même de faciliter la circulations sanguine
3. Buvez beaucoup et souvent : la déshydratation pèse sur le fonctionnement de votre corps et donc sur la circulation sanguine. Et rappelez-vous que plus on avance en âge, moins on est sensible à la soif, alors qu’une bonne hydratation reste plus qu’essentielle.
4. Privilégiez la marche pour vos déplacements. Ce qui, je le sais, est d’autant plus difficile quand on sent les jambes lourdes… Mais cela muscle les jambes et facilite la circulation. 10 ou 15 minutes toutes les deux heures, une demi-heure par demi-journée, ou au mieux une heure et demie par jour, c’est déjà l’assurance de conserver une circulation efficace.
5. Evitez les vêtements trop serrés. Là aussi, c’est plus facile à dire qu’à faire, surtout lorsqu’après l’hiver, notre éventuel embonpoint atteint son maximum ! Mais que ce soit au niveau de la taille, des hanches ou des jambes, ce qui est compressé en premier, ce sont les veines ! Donc si vous voulez éviter les jambes lourdes, privilégiez les vêtements amples, même si cela implique de changer un peu votre garde-robe.
6. Variez vos activités. La station assise ou debout, conservée trop longtemps favorise la stagnation du sang dans les jambes. D’où l’importance de se « dégourdir les jambes » comme le veut l’expression.
7. Les bas de compression ou les chaussettes de contention permettent d’étaler la pression sur les jambes et de favoriser la circulation sanguine et de réduire autant que possible le gonflement, donc la lourdeur que vous pouvez ressentir – voire les douleurs. A cause des différents niveaux de pression de ces « dispositifs médicaux », le mieux est d’en parler avec votre médecin.
8. Dès que vous êtes en position allongée, n’hésitez pas à élever les jambes, soit en les plaçant sur l’accoudoir de votre canapé par exemple, soit sur un oreiller sous vos chevilles ou vos mollets, soit avec un lit spécialement adapté. Ça facilite le retour veineux en permettant au sang de circuler plus facilement des jambes vers le cœur. Plusieurs quarts d’heure dans la journée peuvent vous faire beaucoup de bien.
9. Tant que vous avez la sensation de jambes lourdes, évitez les chaleurs excessives, qui font gonfler vos veines. Tels que les bains chauds, hammams, saunas, bronzages intensifs. Faute de pouvoir supporter des douches froides – excellentes pour la circulation, mais ô combien désagréables – privilégiez des douches tièdes.
10. Portez les bons talons. Cela peut sembler dérisoire mais c’est beaucoup plus important qu’il n’y paraît. Les talons hauts peuvent être très élégants, ils accumulent beaucoup de pression dans les chevilles sans, pour autant, que cette pression soit renvoyée vers le cœur. Il en va de même pour les tennis (appelées désormais « sneakers », donc des « faufileuses »), qui sont en plus très mauvaises pour le dos. Privilégiez des chaussures à talon « classique », qui répercutent la pression de la marche vers le haut.
Tous les gonflements des jambes n’ont pas les mêmes causes
Si vos jambes sont énormément gonflées, que vous sentez des fourmis, le mieux est de consulter.
Si vous n’arrivez plus du tout à marcher ou que vous n’êtes soudain plus capable de mettre un pantalon, rendez-vous au plus vite à l’hôpital. Il est des gonflements plus inquiétants que d’autres, et qui ne doivent pas traîner.
Sinon, il existe des remèdes qui peuvent réduire vos problèmes de jambes lourdes jusqu’à vous permettre de les faire disparaître. Et ils ont un avantage : ils sont parfaitement naturels.
Le premier consiste dans un Gel anti-veines que mes patients me réclament à chaque fois. L’autre, dans un complément alimentaire qui a depuis longtemps fait ses preuves – le Venoplex.
Ils vont très bien ensemble, car le Gel anti-veines permet de traiter la sensation de jambes lourdes en externe, tandis que le Venoplex soutient la circulation sanguine et soulage les jambes gonflées sur le long terme.
Quoi de plus fort que les huiles essentielles ?
L’avantage des huiles essentielles est qu’il s’agit d’un produit d’une efficacité insurpassable. Mais encore faut-il savoir le doser. C’est ce qui a été fait très minutieusement pour le Gel anti-veines.
Ainsi, vous y retrouvez :
— De l’essence de citron, qui redonne du tonus à vos veines, stimule les muscles de l’adventice, la paroi des vaisseaux sanguins
— De l’essence de cyprès, qui agit sur les petits vaisseaux que vous pouvez voir sur vos jambes, et qui est elle aussi bénéfique à la circulation
— L’essence de lavandin, cicatrisante, donc particulièrement utile pour prévenir les varices en soutenant la santé de vos vaisseaux sanguins
— La trop méconnue ciste ladanifère, elle aussi cicatrisante, mais également astringente, afin d’améliorer le retour veineux (du sang vers le cœur)
— La menthe des champs, qui donne un puissant coup de frais sur vos jambes !
De plus, pour apaiser, il a été ajouté à cette formule des ingrédients que vous ne trouverez nulle part ailleurs !
Tels que l’eau florale d'immortelle, des extraits de graines de marronnier d'Inde, de l’écorce d’hamamélis de Virginie, des feuilles de romarin et de mélilot.
Ainsi, le Gel Anti-veinesvous donne une sensation de fraîcheur et de confort aussi immédiat que durable. Vos veines s’en trouvent fortifiées, et leur gonflement excessif s’en trouve résorbé.
Vos jambes lourdes ne sont plus qu’un mauvais souvenir.
Toutefois, pour accompagner ce traitement, je ne saurais trop vous conseiller ce petit complément alimentaire que je recommande chaque fois à mes patients.
Il est si simple d’entretenir vos veines
Liquide pour ainsi dire inatteignable, hormis lorsqu’il en sort, il paraît compliqué d’agir sur la composition du sang et le tonus des veines.
En fait, il n’en est rien. Le Vénoplex l’a prouvé sur des centaines de patients.
Il est composé de plantes très riches en flavonoïdes, qui sont les molécules végétales les plus riches en bienfaits pour la santé humaine.
Vous y trouverez :
— Du romarin, dont les bienfaits ancestraux, maintes fois corroborés par les études scientifiques, n’ont plus rien à prouver
— Le baccharis, une plante d’ornement fort méconnue, et pourtant très utile en termes de médecine naturelle, et connue en Amérique du sud depuis des temps immémoriaux
— Le grand plantain, une plante réputée pour ses bienfaits médicinaux, et qui (entre autres) donne du baume au cœur au sens le plus littéral
— Le maté, qui est l’équivalent du thé en Amérique du sud, lui aussi un tonifiant pour la circulation très commun là-bas
— Les feuilles de gui, un cardioprotecteur lui aussi prouvé scientifiquement[1].
Pour ma part, je recommande toujours l’association de ces deux remèdes, dans un composé unique appelé le Pack Jambes Lourdes.
Ma femme, qui souffre de ce problème, surtout quand vient l’été, me le réclame à chaque fois.
Le Gel anti-veines s’applique très facilement par massages réguliers et doux, afin de bien faire pénétrer la préparation – le mieux est de presser de bas en haut, pour bien favoriser le retour veineux.
Quant au Venoplex, il se prend pur, sous la langue, et s’avale ensuite très simplement. 30 minutes par jour, avant ou après un repas, à raison de 10 gouttes trois fois par jour – surtout pendant l’été.
En espérant que vous retrouverez le goût et l’énergie pour gambader durant toute la belle saison !
Dr. Thierry Schmitz
Sources
[1]Karagöz A, Kesici S, Vural A, Usta M, Tezcan B, Semerci T, Teker E. Cardioprotective effects of Viscum album L. ssp. album (Loranthaceae) on isoproterenol-induced heart failure via regulation of the nitric oxide pathway in rats. Anatol J Cardiol. 2016