Chère lectrice, cher lecteur,
La rentrée, que vous soyez enfant, parent ou grand-parent, est toujours un moment un peu stressant.
Et quand je dis un peu stressant, vous savez que c’est un euphémisme.
Tout se met en branle pour vous rendre la vie compliquée : on est parti pour une nouvelle année scolaire qui peut, lorsqu’on la regarde dans son entier, paraître bien longue à tout le monde…
Ce qui fatigue le plus, bien évidemment, c’est l’agitation qui règne durant cette période, sans compter que les enfants tombent plus souvent malades qu’à l’accoutumée…
Et je ne vous parle pas des tracas administratifs de toute sorte, la tension qui revient et qui est palpable à même la rue.
Sans compter qu’en France, bien souvent, la politique s’en mêle, avec son lot de grèves, de manifestations, d’informations plus angoissantes les unes que les autres…
Voilà pourquoi je reçois si souvent, dans mon courrier, des appels à l’aide, voire au secours : « Je vous en prie, je n’en peux plus de cette rentrée. Je suis déjà à bout de forces ! Qu’est-ce que je peux faire ? »
Heureusement, si vous avez besoin de sérénité, il existe un remède qui n’est pas du tout addictif, parfaitement sain.
Avec lui, vous trouverez la disponibilité psychologique pour faire face à tout, pour tout planifier et ne plus vous sentir dépassé par le nombre ahurissant de choses à faire.
Comme une série de grandes respirations avant de faire du sport : vous sentez le temps se ralentir et votre cerveau retrouve sa capacité à détacher chaque chose qu’il perçoit les unes des autres.
Car il n’y a pas de calme sans contrôle, et pas de contrôle sans calme.
Le calme et l’énergie en même temps
Le remède qui permet ce tour de force s’appelle le Phytostress. Les plantes comme anti-stress : c’est facile à retenir.
Cela fait plus de 10 ans que ce remède fonctionne admirablement, et il ne se passe pas une seule journée sans que l’on m’en reparle.
Justement parce qu’il arrive à faire quelque chose qu’aucun autre remède ne fait : vous donner le calme dont vous avez besoin sans vous faire perdre votre énergie.
Avant cela, je dois tout de même vous prévenir : il ne sert à rien de vous "gaver" de Phytostress en continuant à prendre 10 cafés par jour !
D’abord, dites-vous que votre dernière boisson excitante sera le café ou le thé après le déjeuner. Cela vous permettra de terminer vos journées sans que la nervosité vous fasse trembler.
Ensuite, il est temps de passer au Phytostress, car vous verrez le calme vous redonner de l’énergie : ce sont autant de gestes inutiles que vous vous économisez, autant d’efforts que vous arrêtez de gaspiller. Et c’est bien meilleur pour votre santé et votre moral…
Vous ne trouverez pas ça partout
Le premier des deux ingrédients qui vous redonnera la tranquillité nécessaire pour tout voir venir sans vous laisser submerger, c’est le nard de l’Himalaya, ou jatamansi.
Il s’agit d’un ingrédient rare, qui était jadis cueilli de façon sauvage, et qui est maintenant cultivé pour être mieux préservé. Donc rassurez-vous : vous ne mettez en danger aucune espèce écologique rare.
Au contraire, vous assurez sa pérennité en mettant en valeur sa culture.
Le nard de l’Himalaya, dont on entendait déjà jadis parler dans la Bible, est une de ces plantes exceptionnelles de l’Inde qui ont acquis dès l’Antiquité une réputation mondiale.
Parce que c’était jadis une voie vers la sagesse, un traitement capable de calmer les êtres les plus agités, un jalon sur la voie de la conscience de soi.
Résultat : le nard de l’Himalaya vous donne une plus grande clarté d’esprit, une sérénité tout à faire naturelle, et qui dont vous n’avez pas à vous inquiéter lorsque vous prenez la voiture par exemple.
Peut-être même que cela vous donnera des idées que vous n’auriez jamais eues autrement, quand vous avez la tête dans le guidon. C’est arrivé à presque toutes les personnes qui en ont pris.
Cette plante est un secret bien gardé
L’autre ingrédient puissant du Phytostress, c’est une petite plante presque inconnue, mais dont les effets sont étonnants : en effet, vous vous sentez détendu rien qu’à la première prise.
D’autre part, puisqu’il s’agit d’une plante très douce, elle peut même être donnée aux enfants, ce qui est tout à fait avantageux. Et même pour eux, elle peut se coupler avec le nard de l’Himalaya.
Enfin, et c’est un plus assez extraordinaire, la ballote noire ne vous endort pas pendant la journée, mais elle vous facilite le sommeil la nuit.
En effet, elle coupe le besoin de recourir au cortisol, cette hormone créée par les glandes surrénales et qui est suractivée dès que vous prenez des excitants.
Vous le savez : le café crée un surcroît d’énergie qui vous donne parfois l’impression de planer (d’où le sens initial du mot arabe "kif"). C’est l’effet du cortisol quand il est libéré.
Sauf qu’après, l’énergie retombe, mais pas la tension nerveuse. D’où le stress que vous continuez à ressentir même lorsque vous avez arrêté de prendre du café. Ce même stress qui vous empêche de dormir.
La ballote noire permet donc de couper cela, de reprendre le contrôle sur votre moral, votre organisation, et même d’apaiser vos rapports avec les autres !
Avec la sérénité, vous réussissez tout
Je l’ai remarqué depuis longtemps : quand on souffre de stress, c’est rarement épisodique. Bien sûr, il y a des périodes où cela devient insupportable, et c’est là que le Phytostress trouve toute son utilité.
Cependant, la qualité de ce produit (due à ses ingrédients rares), fait qu’il vous permet de prendre un recul parfois plus intéressant : vous n’avez plus la tête dans le guidon.
Non seulement vous gérez mieux l’intendance quotidienne, mais cela vous permet aussi de voir des problèmes plus généraux. Le stress chronique est un état dont on ne sort qu’avec un changement de vie.
Le Phytostress vous permet un recul de cette qualité-là, et sans le moindre effet secondaire. Donc vous n’avez pas grand-chose à perdre de l’essayer.
Si c’est pour un petit stress, il sera surmonté ; si c’est pour un gros stress, il vous donnera les premières clefs pour le résoudre. Pour vous le procurer, il vous suffit de cliquer ICI.
Cette rentrée, c’est déjà dans la poche.
Dr. Thierry Schmitz
