L’intoxication aux métaux lourds

De nombreuses affections physiques et mentales sont provoquées par une intoxication chronique aux métaux lourds, principalement l’aluminium et le mercure. Ce dernier est un toxique universellement reconnu et son emploi a été logiquement interdit dans de nombreux domaines (pâte à papier, peinture, piles, thermomètres) mais les dentistes français persistent à en placer dans la bouche des gens…

L’aluminium

Les sources de pollution à l’aluminium

  1. L’eau du robinet car les stations d’épuration qui produisent l’eau potable utilisent du sulfate d’aluminium pour éliminer les microorganismes et les matières organiques de l’eau.
  2. Les ustensiles de cuisine comme certaines casseroles ou certains emballages (rouleaux de papier alu ou barquettes en alu) libèrent de l’aluminium dans les aliments (ex : 100 gr de tomates conservées dans du papier aluminium toute une nuit peuvent contenir jusqu’à 6,5 mg d’aluminium). Citons également les boîtes de conserve et les boissons sous forme de canette.
  3. Les additifs alimentaires sous forme de colorants (E173), d’anticoagulants (E520 – E521-E522-E523) utilisés dans les aliments à base de blancs d’œufs. Le E541 dans les génoiseries et les E554-E555-E556-E559 dans les aliments séchés sous forme de poudre (laits, cafés et potages en poudre) ainsi que le sel raffiné et les fromages industriels.
  4. Les cosmétiques comme certains dentifrices et déodorants contiennent du chlorure d’aluminium.
  5. La plupart des vaccins contiennent des doses d’aluminium 50 à 80 fois supérieures aux normes européennes (15 microg/l).
  6. Certains médicaments dont beaucoup d’antiacides contiennent de l’hydroxyde d’aluminium parfois en forte dose comme le Maalox® (200 mg).

Les effets de l’aluminium sur la santé

L’aluminium est toxique pour le cerveau et peut être à l’origine de pertes de mémoire ainsi que de la maladie d’Alzheimer. En 1988, suite à un accident survenu dans une station anglaise de distribution d’eau, la population locale a bu une eau riche en sulfate d’aluminium et presque tous se sont plaint de pertes de mémoire. Plusieurs études démontrent que le risque de développer la maladie d’Alzheimer est 8 fois plus élevé chez les personnes qui absorbent une quantité anormalement élevée d’aluminium.

Dans les vaccins, l’hydroxyde d’aluminium est utilisé comme un adjuvant qui permet de mieux stimuler la réponse immunitaire des patients. Le problème est qu’il reste dans les cellules et continue de stimuler le système immunitaire au point de le dérégler, ce qui peut être à l’origine de maladies auto-immunes.

En 1995, dans la revue britannique Vaccine, trois chercheurs suédois viennent de démontrer le lien entre la présence d’aluminium dans un rappel diphtérie-tétanos et une forte production d’immunoglobulines E (IgE) chez les enfants. Or, les IgE sont des anticorps indésirables responsables d’environ la moitié des allergies humaines.

En Nouvelle-Zélande, 8 chercheurs ont comparé la fréquence des allergies chez 1265 enfants vaccinés dans leur prime enfance contre la diphtérie, la polio, le tétanos et la coqueluche (avec de l’aluminium comme adjuvant) et 23 enfants non vaccinés. A dix ans, 30% des enfants vaccinés avaient consulté un médecin pour des problèmes d’allergies, aucun parmi les enfants non vaccinés !

En août 1998 la revue médicale The Lancet annonce la découverte d’une nouvelle pathologie musculaire inflammatoire d’origine inconnue qu’ils baptisent du nom de myofasciite à macrophages dont les symptômes sont des douleurs musculaires et de la fatigue avec un peu de fièvre. Les biopsies musculaires (prélèvements de cellules) pratiquées sur ces malades révèlent alors la présence d’une concentration anormale d’aluminium au niveau du muscle où l’on a administré un vaccin contenant de l’aluminium.

De nombreux soldats américains revenus de la 1ère guerre du Golfe en Irak ont été atteints de douleurs musculaires et articulaires chroniques : c’est le « syndrome de la guerre du Golfe ». Encore une fois, ce sont les vaccins contenant de l’hydroxyde d’aluminium qui sont soupçonnés d’être à l’origine du problème. En effet, ces soldats ont reçu des vaccinations multiples, comme le vaccin contre l’anthrax (6 injections en moins d’un mois) pour lutter contre une éventuelle attaque bactériologique.

Le mercure

Le mercure est un métal dont la toxicité est telle qu’on lui attribue des normes de sécurité les plus strictes :

  • concentration minimale sans risque pour des cellules vivantes : 0,1 µg/l selon la norme de l’Environment Protection Agency  (E.P.A) des USA.
  • Norme OMS pour l’eau potable: 1 µg/l.

Pour rappel, 1 µg (microgramme) = 0,000001 gr (gramme)

Les sources de pollution au mercure

Elles sont diverses mais la pollution de loin la plus importante provient Une personne possédants 8 amalgames métalliques en bouche (ce qui représente la moyenne de la population française) s’intoxique au mercure à raison de 15 µg par jour. En comparaison, la pollution environnementale liée à l’air pollué (usines) et à la consommation de poissons contaminés au mercure ne représente que 2 µg par jour.

L’empoisonnement par les amalgames dentaires

Un amalgame (plombage gris) est un alliage composé de 50 % de mercure, 30 % d’argent, 9 % d’étain, 6 % de cuivre et un peu de zinc. En moyenne, un amalgame contient environ 1 g, soit 1 000 000 de µg de mercure, ce qui est énorme.

Dans la bouche, un plombage subit à la fois une abrasion mécanique et une corrosion électrochimique. Le mercure est relargué principalement sous forme de vapeurs et pénètre dans l’organisme par la respiration. Lorsqu’on mesure les émanations sortant d’une bouche avec de nombreux amalgames dentaires, la valeur dépasse de 480 fois la norme admise par la sécurité en industrie. D’autres tests ont démontré qu’après mastication, 90 % des personnes ont une concentration en mercure dans leur salive supérieure à 5 µg/l. Pour 10 %, elle est supérieure à 100 µg/l ! (4 millions de Français environ dépassent ce taux)!

Il est donc impératif d’éviter de se faire placer des amalgames métalliques dans la bouche et de privilégier les dentistes (qui connaissent le problème des amalgames) et qui soignent leurs patients soit avec des résines composites, soit avec de la porcelaine.

Il est aussi fortement conseillé d’enlever progressivement ses anciens amalgames métalliques mais avec des précautions comme l’utilisation par le dentiste d’un champ opératoire, d’une irrigation abondante et d’une aspiration chirurgicale à haute vitesse.

Une fois la source de pollution au mercure tarie, il faut alors se désintoxiquer en utilisant le traitement naturel mentionné plus loin dans l’article.

Les effets du mercure sur la santé

Les symptômes de l’intoxication au mercure évoluent au cours du temps en fonction de l’accumulation progressive de mercure dans l’organisme.

Au début, on ne remarque que des petits troubles de santé comme une transpiration plus abondante, une salivation excessive, une fatigue inexpli­quée, de l’insomnie, une mauvaise haleine, des vertiges et des maux de tête. Progressivement, apparaissent des symptômes neurologiques : instabilité émotionnelle, irritabilité, dépression, pertes de mémoire, insomnies. L’atteinte progressive du système nerveux, cible préférentielle du mercure va se traduire au niveau physique par des fourmillements dans les mains, une sensation de brûlure avec endormissement des membres inférieurs, un léger tremblement des doigts, des paupières ou des lèvres.

D’autres symptômes ou certaines maladies peuvent également avoir un lien avec l’intoxication au mercure comme des infections virales, des mycoses, la tuberculose, le cancer, la sclérose en plaques, les maladies auto-immunes, les dérèglements de la glande thyroïde, certaines allergies et certains problèmes dermatologiques.

Désintoxication par la médecine naturelle

La Chlorella

La Chlorella est une algue d’eau douce capable de nettoyer l’organisme des métaux lourds.

La dose recommandée : trois fois cinq comprimés par jour pendant les repas et pendant plusieurs mois.

Le problème du traitement à la chlorella est que les patients fortement intoxiqués par des métaux lourds peuvent voir leurs symptômes fortement augmentés pour une raison simple : lorsque que l’on prend de la chlorella en petites quantités, on agite le mercure dans tout le corps. La chlorella mobilise plus de mercure qu’elle ne peut en évacuer. C’est pourquoi, il faut alors prendre environ tous les dix jours, une dose de quarante à cinquante comprimés sur la journée.

Le MetOut

Les propriétés des algues sont connues depuis des milliers d’années. Des recherches mondiales ont démontré que l’algue brune Laminaria Japonica contient plusieurs principes actifs de la plus haute valeur thérapeutique.

Le MetOut est à la fois le meilleur extrait organique purifié de l’algue brune Laminaria Japonica, mais aussi le plus bio-disponible et ce pour 2 raisons :

  1. L’extraction se fait à moins de 80° C, ce qui évite la destruction des microéléments naturels.
  2. Méthode brevetée d’extraction qui ne garde que la partie centrale de l’algue, la plus riche en principes actifs, et enlève la partie externe très fibreuse et indigeste. La fabrication de 1 Kg de MetOut nécessite 40 Kg d’algues.

Parmi les principes actifs du MetOut, il y a de l’alginate qui est un puissant capteur de métaux lourds comme le mercure, l’aluminium, le cadmium (fumée de cigarette), le cobalt et le radium ainsi que des substances radioactives.

Je considère qu’actuellement, le MetOut est le meilleur chélateur de métaux lourds car non seulement il capte ces toxines mais favorise leur élimination à l’extérieur de l’organisme.

Par rapport à la chlorella, le traitement est plus rapide, plus efficace et il ne présente pas ces phénomènes d’aggravation temporaire des symptômes.

En plus de traiter l’intoxication aux métaux lourds, le MetOut permet également de traiter les pollutions radioactives en provenance des rayons X, des micro-ondes, des lignes à haute tension, des télévisions, des ordinateurs, des téléphones portables et de leurs antennes relais, soit différentes sources de radiations nocives qui génèrent chez l’homme des radicaux libres à l’origine du vieillissement cellulaire, d’anomalies de naissance, de leucémies et de cancers. Les dégâts de ces différentes pollutions peuvent être largement atténués par le MetOut qui a d’ailleurs été utilise avec succès pour traiter les victimes de la catastrophe de Tchernobyl.

Le MetOut doit être pris sur un estomac vide avec un grand verre d’eau, idéalement le matin à jeun. Il faut éviter la prise le soir car le produit a un effet énergétique pouvant nuire à la qualité du sommeil.

Le produit est très bien toléré et même des doses importantes (12 gélules), prises en une fois le matin à jeun, ne provoquent aucunes nausées. Au contraire, le MetOut pourra aider les personnes atteintes de problèmes gastriques ou intestinaux.

La dose dépendra surtout du poids de la personne : 1 gélule par tranche de 10 kg.

 La durée du traitement dépendra surtout de l’importance de l’intoxication mais est souvent comprise entre 3 et 6 mois.

Le  MetOut est non toxique, 100 % naturel et compatible avec tous les traitements médicaux et les programmes alimentaires.

L’intoxication aux métaux lourds
drschmitz 30 June, 2021
Tags
Archive
Dossier : Les maladies auto-immunes